bol existe depuis un quart de siècle et va de l’avant:

“Les achats circulaires doivent devenir la norme”

Bol's Memory lane
En résumé

Le 30mars marquera le 25eanniversaire de la première vente d’un produit bol dans son magasin virtuel.

En 1999, bol (dont le nom vient de Bertelsmann OnLine) fut la première librairie en ligne d’Europe. Un quart de siècle plus tard, bol compte près de 13,5 millions de clients, 38 millions d’articles et quelque 50 000 partenaires commerciaux. Le magasin virtuel occupe ainsi une position de choix sur le marché belge et néerlandais. En perpétuelle évolution, l’e-commerce requiert une approche flexible et innovante, mais il faut aussi savoir prendre ses responsabilités. La volonté de toujours faire mieux dépasse désormais le cercle fermé de l’entreprise. Selon bol, le défi majeur pour l’avenir consiste à consommer de manière plus durable. Margaret Versteden-van Duijn, CEO de bol, revient sur les 25 ans du « magasin pour tout et tous » en rêvant d’un avenir qui verra les achats circulaires se généraliser.

Lorsque bol a lancé ses activités sur le Net en 1999, l’e-commerce n’en était encore qu’à ses balbutiements. Comme le secteur, le magasin virtuel a énormément évolué au cours de ces 25 ans. La première décennie s’est traduite par la volonté de faciliter autant que possible les achats en ligne : une offre toujours plus grande, des livraisons toujours plus rapides, le paiement après livraison et la simplicité de renvoi. Bien que le client fasse l’objet de toutes ses attentions, bol veut se concentrer dorénavant davantage sur les possibilités de faire de meilleurs choix pour la planète. Margaret Versteden-van Duijn : « Les changements climatiques représentent un défi pour toute notre civilisation. bol se sent par conséquent aussi responsable. Nous avons l’ambition de réduire considérablement les effets de nos activités sur la planète, tout simplement parce que nous avons pris conscience de notre impact considérable. La majeure partie de l’empreinte carbone de notre civilisation vient de notre consommation. Nous avons facilité le commerce en ligne. Nous voulons désormais faciliter le commerce circulaire pour nos clients. Il faut effectivement que les achats circulaires deviennent la norme. »

Dynamiser le commerce circulaire
Pour le moment, bol se concentre sur le trajet effectué par un produit jusqu’au domicile du client, mais ce voyage ne s’arrête pas là. Les produits ont effectivement toute une vie après leur livraison chez le client. Dans une économie circulaire, il faut gérer les matières premières de manière aussi efficace et durable que possible. Là est tout l’enjeu pour bol : prolonger le cycle de vie des produits avec le moins de déchets possible. En coulisses, bol travaille sur plusieurs stratégies circulaires qui seront introduites au cours des prochaines années. Margaret Versteden-van Duijn : « En tant que grande plateforme, il est non seulement important de rendre nos activités plus durables, mais nous voulons aussi faire bouger toute la chaine. Les véritables répercussions climatiques se situent au niveau des produits proposés et des choix de nos clients. La responsabilité de l’action incombe donc à bol. Nos stratégies circulaires vont jouer un rôle primordial à cet égard. » 

Accélérer la consommation durable
Ces derniers temps, bol a déjà pris plusieurs initiatives pour réduire son empreinte environnementale. L’entreprise a commencé par repenser son propre fonctionnement, notamment en écologisant autant que possible ses emballages. Par exemple, bol a expédié ses articles déjà bien emballés sans la fameuse boite bleue, économisant ainsi en 2023 2200 tonnes de carton. Le service de livraison a également été repensé dans une logique plus écologique en optant pour des itinéraires logistiques plus intelligents, pour la conduite électrique et les livraisons à vélo. Depuis 2023, bol bénéficie du certificat B Corp, ce qui signifie que l’entreprise respecte des normes sociales et environnementales, vérifiées et strictes, au niveau de ses activités commerciales. Par ailleurs, bol souhaite aider ses clients à faire des choix consciencieux lors de leurs achats. Ainsi, près de 1,7 million d’articles se sont vu attribuer un label particulier sur le site web, symbolisé par la planète Terre. Ces articles sont dotés d’atouts durables par rapport à d’autres articles comparables, fondés sur des critères bien définis. Il s’agit notamment d’articles fabriqués à partir de matériaux recyclés ou d’ingrédients moins préjudiciables pour l’environnement, d’articles labellisés Fairtrade ou d’appareils économes en énergie. Par ailleurs, bol aide également ses fournisseurs à réduire leurs émissions de CO2 par l’intermédiaire de sa toute nouvelle plateforme en ligne Klimaathub. Cette plateforme met à leur disposition toutes sortes d’informations, des vidéos et des conseils pratiques sur la manière de réduire leurs émissions de CO2. 

Favoriser l’inclusion
En tant que « magasin pour tout et tous », l’entreprise bol est consciente de son impact et de sa responsabilité. Promouvoir la diversité est une motivation personnelle de Margaret Versteden – van Duijn. Dès le début de sa carrière, elle a défendu l’égalité des chances au-delà des différences de genre et d’origine ainsi que des différences socioéconomiques. « Je veux apporter ma contribution au développement d’une société où ces différences ne joueront plus aucun rôle », explique Margaret Versteden – van Duijn. La vision de bol est claire : créer un environnement de travail où tout le monde pourra être lui-même. bol veut être un exemple de référence en instaurant une communauté inclusive privilégiant l’égalité des chances tant au sein de l’entreprise qu’en dehors. Par exemple, bol offre des bourses d’études aux jeunes (en privilégiant les femmes) en situation précaire qui n’auraient pas accès aux études STEM (Sciences, technologies, ingénierie et mathématiques) et permet le congé pour transition de genre. bol conçoit également des campagnes marketing avec pour thèmes l’équilibre hommes-femmes et la neurodiversité afin de lutter contre les stéréotypes dans la société. « Nous avons encore du pain sur la planche, mais nous voulons nous améliorer chaque jour un peu plus », conclut Margaret Versteden – van Duijn.  

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